« Demeurez en moi, comme moi en vous. Tout comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s’il ne demeure dans la vigne, vous non plus, si vous ne demeurez en moi. C’est moi qui suis la vigne ; vous, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi, comme moi en lui, celui-là porte beaucoup de fruit ; hors de moi, en effet, vous ne pouvez rien faire. » Jean 15. 4, 5
Ceux qui feront de leur vie chrétienne un succès, considéreront tout à comme une perte à cause de la supériorité de la connaissance de Christ. Seuls ceux qui demeurent en Christ connaîtront la vie véritable. Ils ont conscience de la valeur de la vraie religion. Ils ont consacré leurs talents, leurs moyens, leurs compétences avec pour seul but de connaître et d’accomplir la volonté de celui qui est mort pour les racheter. – (Our High Calling, p. 8)
Ce n’est pas une rencontre occasionnelle avec le Christ qui satisfera nos besoins, mais le fait de demeurer en Lui. Il vous appelle à le faire. Il ne vous propose pas cette euphorie de courte durée qui peut vous combler occasionnellement lors d’une recherche sincère du Seigneur, mais qui s’évanouit dès que vous replongez dans la vie courante. Votre lien avec le Christ rend tout devoir léger car c’est Lui porte chaque fardeau. Il a préparé votre total abandon à Lui, ce qui veut dire que vous êtes conscient d’être continuellement avec le Christ et votre esprit en est fortifié et encouragé. – (In Heavenly Places, p. 55)
Ne vous tenez pas à l’écart du Christ comme le font beaucoup de soi-disant chrétiens aujourd’hui. « Demeurez en moi et moi en vous » est une chose possible, car cette invitation n’aurait pas été lancée si vous ne pouviez y répondre. Jésus notre Sauveur vous attire constamment par son Saint-Esprit, collaborant avec votre esprit pour que vous souhaitiez demeurer en Christ. Les bénédictions qu’il vous accorde sont toutes associées à vos propres actions. Le Christ peut-il être refus. ? Il a dit : « celui qui vient à moi, je ne le chasserai jamais dehors » . (Jean 6. 37). Mais à une autre classe de personnes il dit » Et vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie ! » . (Jean 5. 40) – (In Heavenly Places, p. 55).
« Venez . moi, vous tous qui peinez sous la charge ; moi, je vous donnerai le repos » . – (Matthieu 11. 28)
Avez-vous, ai-je, entièrement compris le généreux appel : Venez à moi ? Il dit : Demeurez en moi; et non demeurez avec moi. . Comprenez mon appel. Venez à moi et restez en moi. Il accordera gratuitement toutes ses bénédictions à tous ceux qui viendront à Lui pour obtenir la vie. Il a mieux à vous offrir qu’une euphorie passagère ressentie au cours d’une intense prière. Parler à Christ, ce n’est qu’une goutte d’eau dans la mer, alors que vous avez le privilège de pouvoir jouir de sa présence constante !
L’anxiété, la perplexité et les soucis vous éloignent-ils du Christ ? Sommes-nous moins dépendants de Dieu lorsque nous sommes . l’atelier, dans les champs ou au marché ? Le Seigneur Jésus veut demeurer en vous et que vous demeuriez en Lui, partout. – (In Heavenly Places, p. 55).
Tous ceux qui reçoivent le Christ par la foi deviennent un avec Lui. Les sarments ne sont pas artificiellement attachés au cep de vigne par un moyen mécanique. Ils sont unis à lui et en font partie. Ils sont nourris par ses racines. Ainsi ceux qui reçoivent le Christ par la foi deviennent un avec Lui dans leurs principes et leurs actes. Ils sont unis à Lui et ce qu’ils vivent c’est la vie du Fils de Dieu. Ils tirent leur vie de Celui qui est la vie. – (In Heavenly Places, p. 56).
Si quelqu’un est dans le Christ, c’est une création nouvelle. Ce qui est ancien est passé : il y a là du nouveau . (2 Corinthiens 5. 17)
Le baptême, en lui-même, aussi répété soit-il, n’a pas le pouvoir de changer le coeur humain. Ce coeur doit être uni à celui du Christ, la volonté immergée dans la sienne, l’esprit doit devenir un avec Son esprit, et les pensées Lui être rendues captives. L’homme régénéré a un lien vital avec le Christ. Tout comme les branches tirent leur nourriture du tronc et, grâce à cela, peuvent porter du fruit, ainsi le véritable croyant, uni au Christ, révèle dans sa vie les fruits de l’Esprit. Les sarments deviennent un avec le cep de vigne ; l’orage ne peut les arracher ; la gelée ne peut détruire leurs propriétés. Rien ne peut les séparer du cep. Ce sont des sarments vivants et ils portent les fruits de la vigne. Ainsi en est-il du croyant.
Par de bonnes paroles et de bonnes actions, il révèle le caractère du Christ. – (In Heavenly Places, p. 56)
Le Christ a prévu ce qu’il faut pour que notre vie toute entière soit une communion sans faille avec lui-même ; mais, pour que la présence de Christ à nos côtés soit constante, il faut une foi vivante. – (In Heavenly Places, p. 56)
Questions destinées à la réflexion personnelle
1. Existe-t-il quelque chose (des chagrins, les soucis de la vie, le stress, les biens) qui vous empêche de demeurer en Christ ?
2. Concernant la certitude de tout faire pour demeurer en Christ, quel niveau votre responsabilité se situe-t-elle ?
Que la grace de Dieu nous accompagne tout au long de cette annee.