« Devant Dieu et devant Jésus-Christ, qui va juger les vivants et les morts, et dans la perspective de sa venue et de son règne, je te recommande solennellement : proclame la Parole, insiste, que l’occasion soit favorable ou non, convaincs, réprimande, encourage par ton enseignement, avec une patience inlassable. » 2 Timothée 4.1, 2

 Tu te tiens devant Dieu, devant ce Dieu Éternel qui dit de lui-même qu’il est

• Dieu miséricordieux
• Dieu compatissant,
• lent à la colère,
• riche en bonté
• riche en fidélité,
• il conserve son amour jusqu’à mille générations,
• il pardonne l’iniquité, la rébellion et le péché,

Il possède 7 caractéristiques qui décrivent son immense amour. Il t’aime d’un amour éternel, infini ! Tu es devant l’amour le plus grand qui soit parce que Dieu t’aime comme aucun autre : il t’aime tel que tu es. Acceptes-tu cet amour, le laisses-tu entrer dans ton cœur ou alors, attends-tu d’être meilleur pour lui dire oui ? Laisse-toi gagner ! Laisse-le t’aimer, accepte, tout simplement. Son amour te relève, te transforme. Il remplit le vide de ton cœur et fait de toi quelqu’un comme lui… tu commences aussi à aimer gratuitement, sans rien attendre en retour. Tu grandis et plus tu te laisses aimer par lui, plus tu lui ressembles… Alors, qu’en dis-tu ?

• mais il ne tient point le coupable pour innocent, et il punit l’iniquité des pères sur les enfants et sur les enfants des enfants jusqu’à la troisième et à la quatrième génération.

Il va juger avec justice et amour, mais le coupable ne sera pas tenu pour innocent, le coupable qui refusera son amour ne pourra pas se cacher en lui. Il recevra son salaire. En connais-tu qui se privent actuellement de la grâce et du pardon de Dieu ?

Prière : Prends conscience du privilège d’être aimé de Dieu. Cela lui a coûté très cher parce qu’il a donné son Fils pour toi. C’est dire à quel point il te chérit ! Prends conscience également que des personnes sont privées de cet immense privilège et que Dieu t’appelle ! Demande-lui de t’ouvrir les yeux sur ces deux points et sois béni(e) !

Jean-Marc Lohr