Avez-vous déjà été accusés ? Avez-vous connu des tourmentes dans votre parcours spirituel ? Êtes-vous assaillis par les problèmes et les difficultés dans votre vie personnelle et votre marche chrétienne ? Connaissez-vous la tentation, les pressions et les accusations ? Votre cheminement spirituel est-il parfois en danger ? Votre vie en général et votre expérience chrétienne en particulier vont-elles dans la mauvaise direction ? Qu’en est-il de votre choix de carrière ? Vous emmène-t-il dans une direction qui alimente les
critiques ?
S’il vous est déjà arrivé d’être accusés à tort, vous n’êtes pas les seuls. Cependant, nous devons faire preuve de prudence, car il est facile de se considérer comme une victime alors nous accusons aussi les autres. Nous devons faire attention à ne pas faire aux autres ce que nous n’aimerions pas qu’ils nous fassent.
Ellen White dit : « Ceux qui sont coupables de faire le mal sont les premiers à voir le mal chez les autres. Ainsi, laissons chaque membre d’Église réfléchir et voir si son coeur est pur devant Dieu, afin que son nom soit non seulement inscrit sur les registres d’Église mais aussi dans le livre de vie de l’Agneau. Ainsi, il ne sera pas l’accusateur de ses frères et il ne méprisera pas ceux qu’ils pensent être défaillants. » (Review and Herald,10 janvier 1893, par. 7)
Jésus était capable de voir au-delà des émotions et du moment présent. Il savait de quoi serait fait l’avenir. Ses disciples allaient être confrontés aux tentations, aux difficultés et aux épreuves. Ils seraient aussi tiraillés, et leur engagement pour lui vacillerait. Ainsi, il voulut leur annoncer qu’un homme allait le trahir et que cela aurait des conséquences pour tous ceux qui le suivaient. Il savait que ses disciples l’abandonneraient et cesseraient de le suivre.
Pierre, qui était si impétueux, s’exclama alors avec force : « Seigneur, je suis prêt à aller avec toi en prison et à la mort. » (Luc 22.33-34 ; Matthieu 26.31-33) Après cette déclaration fougueuse, Jésus lui dit qu’avant que le coq ne chante trois fois, il le trahirait. Pierre était convaincu que rien – pas même les menaces de mort – ne pourrait ébranler sa foi en Christ et son engagement pour lui. Cependant, Jésus insista et lui parla clairement. Grâce à l’expérience de Pierre, nous comprenons que les réalités de la vie sont parfois si dures que notre foi en Dieu peut vaciller. Nous pouvons nous décourager, devenir indifférents vis-à-vis de Dieu et prendre du recul.
« Simon, Simon, Satan vous a réclamés pour vous passer au crible comme leblé. » (verset 31) Voici ce que Jésus déclara à Pierre. Il proposa une image pour lui montrer que Satan désire éprouver la foi des disciples du Christ. Jésus utilisa le prénom que portait Pierre avant de devenir disciple du Christ. Ce fut probablement un choix délibéré de sa part, car il savait que Pierre n’allait pas tarder à se comporter comme il le faisait avant de rencontrer le Christ, renonçant à le suivre (6.13-14). On peut trouver une interprétation similaire dans Job 1 et 2, où Satan reçoit l’autorisation de mettre Job à l’épreuve. Satan voulait éprouver durement les disciples, comme on tamise le blé, afin de les pousser à chuter. Jésus employa cette métaphore pour montrer qu’il y a un temps où Satan met le peuple de Dieu à l’épreuve afin de pousser tous les disciples à s’éloigner du Seigneur. Tous les jeunes doivent en être conscients et mener une vie de prière afin que le Christ les protège.
Satan s’en prit aux disciples et il en fait de même avec nous, mettant en évidence nos péchés et nos faiblesses. Il avait agi ainsi avec Job (Job 1.6-12). Il s’attaqua à Pierre physiquement et spirituellement afin de l’inciter à renier le Christ et de l’empêcher d’être sauvé. C’est la stratégie cosmique du diable. Jésus intercède pour nous et il se tient à nos côtés pendant que l’accusateur nous déstabilise. Beaucoup de jeunes de l’Église sont victimes des attaques du diable. Leur spiritualité et leur engagement dans l’Église s’affaiblissent.
Nous pouvons tous être concernés. Lorsque cela se produit, les jeunes doivent se concentrer sur Jésus, notre intercesseur, lui accorder la priorité et développer une relation étroite avec lui. Il est plus puissant que Satan et que toutes les épreuves par lesquelles nous pouvons passer.
« Après s’être emparés de Jésus, ils l’emmenèrent et le conduisirent dans la maison du souverain sacrificateur. Pierre suivait de loin. Ils allumèrent du feu au milieu de la cour, et s’assirent. Pierre s’assit au milieu d’eux. Une servante, qui le vit assis devant le feu, le fixa et dit : Cet homme était aussi avec lui. Mais il le nia en disant : Femme, je ne le connais pas. Peu après, un autre le vit et dit : Tu es aussi de ces gens-là. Et Pierre dit à l’homme : Je n’en suis pas. Après un intervalle d’environ une heure, un autre encore insistait : Certainement cet homme était aussi avec lui car il est Galiléen. Pierre répondit : Toi, je ne sais pas ce que tu veux dire. Au même instant, comme il parlait encore, le coq chanta. Le Seigneur se retourna et regarda Pierre. Et Pierre se souvint de la parole que le Seigneur lui avait dite : ‘Avant que le coq chante aujourd’hui, tu me renieras trois fois.’ Il sortit, et dehors, il pleura amèrement. » (Luc 22.54-62)
Jésus avait dit à Pierre qu’il serait la cible des actions du diable. De la même façon, aujourd’hui les jeunes et les adultes de l’Église sont les objets de ses attaques. Il utilise les méthodes les plus subtiles pour attirer l’attention des disciples du Christ et les pousser à se désintéresser des choses spirituelles (1 Pierre 5.8). Il parvint à influencer Pierre. Il pensait qu’en le suivant à distance, les gens ne le reconnaîtraient pas en tant que disciple du Christ. Il espérait ainsi échapper aux critiques et aux éventuelles persécutions. Il choisit de se comporter comme la foule afin de démontrer qu’il ne faisait pas partie des disciples du Christ. Pierre n’avait pas compris cette déclaration de Jésus : « Quiconque en effet voudra sauver sa vie la perdra. » (Matthieu 16.25)
Jésus désire que les jeunes s’identifient à lui et ne le renient pas en oubliant les conséquences que cela peut entraîner. Il encourage les jeunes à prendre position pour lui. Il souhaite que les jeunes soient des disciples fidèles, qu’ils se fassent l’écho de ses paroles et qu’ils témoignent de sa grâce, afin que d’autres puissent l’accepter comme leur Sauveur personnel. Quelle influence Pierre aurait-il pu avoir sur la foule qui était présente ce jour-là s’il s’était levé pour le Christ et avait répondu : « Oui, je suis l’un de ses disciples. »
Au lieu de cela, il le renia. Faites-vous partie de ceux qui renient Jésus ? Ou êtes-vous de ceux qui se lèvent pour le Christ et veulent faire découvrir sa gloire à tous ceux qui ne le connaissent pas ? Faites-vous partie de ces jeunes qui sortent de l’ombre, qui se distinguent de tous ceux qui ne croient pas pour prendre la parole et proclamer là où ils sont – auprès de leur entourage, de leurs amis et dans leur ville – que Jésus-Christ est le Messie et qu’il reviendra un jour chercher le peuple de Dieu et l’emmener dans sa demeure glorieuse ?
Le chant du coq rappela Pierre à la réalité. Il pensa à Jésus, qui ne quitte jamais ses enfants des yeux.
Ellen White dit : « Il avait renié son Seigneur, en faisant des imprécations et en jurant. Mais le regard de Jésus toucha le coeur de Pierre, et le sauva. Il pleura amèrement, se repentit de son grand péché et se convertit; il put alors affermir ses frères. » (Premiers écrits, p. 169)
Pourquoi les gens suivent-ils Jésus à distance ?
Manifestement, Pierre avait pris une distance physique et spirituelle par rapport à Jésus. Il agit ainsi parce qu’il voulait se protéger, parce qu’il se sentait faible et parce qu’il avait peur. Mais en réalité, il éprouvait un profond désir d’être avec Jésus, comme de nombreuses personnes aujourd’hui. Pierre voulait vivre dans deux mondes en même temps. Nous essayons souvent d’en faire de même, mais en vain. Jésus veut que nous vivions avec lui dans le monde spirituel et que nous nous identifiions à lui tout au long de notre cheminement dans ce monde sécularisé. Il veut que nous soyons prêts à souffrir pour lui, et il nous donnera des raisons de nous réjouir.
Pierre était faible ; cette faiblesse provenait de son humanité. Cependant, il désirait vivre une relation personnelle avec le Christ. Il voulait aussi être aux premières loges, voir quel traitement serait réservé
à Jésus et comment le Sauveur réagirait. Quand la foule arriva pour arrêter Jésus, il était trop tard pour prier et réclamer la force de supporter les épreuves. Tandis que Pierre pleurait après avoir renié Jésus, il regretta certainement de ne pas avoir pu prier, ce qui lui aurait permis d’être plus fort. Il comprit la leçon que Jésus veut nous enseigner quand il nous exhorte à veiller, dans 1 Pierre 5.8 : « Soyez bien éveillés, lucides ! Car votre ennemi, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant quelqu’un à dévorer. » Il fut « dévoré » en partie à cause de sa faiblesse. En effet, il n’avait pas prié car il avait surestimé ses capacités de résistance.
Néanmoins, il faut reconnaître que même si Pierre suivit Jésus à distance, il essaya de ne pas le perdre de vue (Marc 14.54), alors que tous les autres disciples s’étaient enfuis (Marc 14.50) après son arrestation. Les paroles d’avertissement que Jésus adressa à ses disciples alors qu’il était encore avec eux sont également pour nous aujourd’hui :« Si le monde vous déteste, sachez qu’il m’a détesté avant vous. » (Jean 15.18 ; Matthieu 24.9). Quand Pierre constata à quel point Jésus souffrait, il comprit rapidement qu’il n’était pas aussi fort et courageux que ce qu’il pensait. La peur s’empara de lui et il renia son Seigneur.
Quand nous réfléchissons à l’engagement des jeunes aujourd’hui, une question se pose : Pourquoi sont-ils si nombreux à suivre le Christ à distance ? Les réponses sont multiples :
– Certains estiment que les membres d’Église n’acceptent pas leur esprit d’ouverture.
– D’autres ont le sentiment de ne pas être aimés par de nombreux membres de leur Église.
– D’autres encore considèrent que l’Église leur impose trop de restrictions et leur dicte ce qu’ils peuvent faire ou ce qu’ils ne peuvent pas faire.
Certes, ces arguments sont recevables. Cependant, la peur, la faiblesse inhérente aux êtres humains et le réflexe de protection sont les raisons essentielles de leur positionnement. La prière est toujours le meilleur
moyen de les aider à surmonter ces obstacles humains.
Jésus savait de quelle façon Pierre allait réagir avant même que cela n’arrive. Il n’accusa pas ceux qui deviendraient ses opposants, ni les détracteurs de Pierre. Il ne justifia pas la réaction de Pierre et il ne le condamna pas. Au contraire, il lui tendit la main. Il l’encouragea et le soutint. Aujourd’hui encore, Jésus accorde son soutien et ses encouragements à tous les enfants, les jeunes comme les adultes. Quelle que soit la situation dans laquelle nous nous trouvons, ces mots devraient être une douce musique à nos oreilles :
« J’ai prié pour toi. »
En effet, Jésus donna cette assurance à Pierre : « J’ai prié pour toi. » Dans la prière que Jésus adressa à son Père, il déclara : « C’est pour eux que je prie. Je ne prie pas pour le monde, mais pour ceux que tu m’as donnés, parce qu’ils sont à toi. » Et au verset 15 il précise : « Je ne te prie pas de les ôter du monde, mais de les garder du Malin. » Le fait de nous présenter en prière devant le Père fait partie de la nature de Jésus. C’est la raison pour laquelle il dit à Pierre : « J’ai prié pour toi. » Jésus est notre avocat. Il est notre défenseur. Il joue actuellement le rôle d’intercesseur pour tous ses enfants (1 Jean 2.1).
Vous vous êtes peut-être éloignés de lui et vous êtes maintenant déprimés et découragés. Pierre éprouva ces sentiments, mais Jésus fut son avocat de la défense, et il est le vôtre également. Dans Hébreux 7.25, Paul déclare : « C’est pour cela aussi qu’il peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur. » Et dans 1 Timothée 2.5, il dit : « Il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu, et les hommes, le Christ-Jésus homme. »
Avant même que nous soyons confrontés à la tentation, il a prié pour nous. Il a anticipé toutes les épreuves auxquelles nous pouvons être confrontés dans cette prière. Les prières que nous avons adressées et adressons à Dieu en notre faveur, en faveur de nos parents, de notre pasteur, des anciens de notre Église, de nos amis et d’autres personnes sont importantes. En effet, Jésus nous encourage à prier les uns pour les autres. C’est l’une des raisons pour lesquelles nous vivons ces moments spéciaux chaque année pour nous concentrer sur la prière – et notamment la prière pour autrui. Cependant, rien ne procure davantage de
joies et de satisfactions que le fait de savoir que Jésus a prié pour nous. Même si nous savons que nous serons ébranlés par les épreuves que Satan nous envoie, nous pouvons avoir la certitude que Jésus nous accompagne dans les périodes troublées de notre vie.
L’objet principal de la prière de Jésus est que notre foi ne faiblisse pas. Charles Spurgeon déclara un jour : « La foi est le porte-drapeau de chaque conflit spirituel. Or, si le porte-drapeau chute, alors un jour mauvais s’annonce. Ainsi, notre Seigneur prie pour que notre porte-drapeau parvienne toujours à brandir sa bannière dans la mêlée. » Si notre foi dans le Seigneur faiblit, alors nous perdons notre courage, notre patience, notre espérance, notre amour et notre joie. Jésus nous dit : « J’ai prié pour toi, afin que ta foi ne faiblisse pas. » Ceci nous encourage aussi à prier pour notre foi . Et la foi dont il est question, c’est une foi authentique, et non une foi basée sur les émotions.
Une foi basée sur les émotions est une manifestation spontanée de confiance qui ne s’appuie pas sur de solides fondements. Diverses circonstances, ainsi que le désir de se protéger d’une certaine inexpérience ou de trouver un sentiment de sécurité, nourrissent ce type de foi.
Dans notre marche avec le Seigneur, les élans émotionnels ne suffisent pas. Ellen White déclara : « Les élans émotionnels ou les bons sentiments ne sont pas synonymes de foi ou de sanctification. » (Signs of the Times, 24 mars 1980, paragraphe 3). Elle dit aussi : « Nous devrions tous aspirer à vivre une foi véritable qui ne soit pas fondée sur des émotions humaines, mais sur l’amour qui purifie l’âme. Cet amour purifie le temple qu’est notre corps de tout orgueil, et chasse toutes les idoles du trône de notrecoeur. » (Review and Herald, 11 mars 1902, paragraphe 3)
Vivre une relation de foi avec Dieu sans s’engager dans une relation personnelle constante est une foi émotionnelle qui ne peut résister quand surviennent les tempêtes, les épreuves et les turbulences.
C’est en dépendant totalement de Dieu que nous développons une foi authentique. Elle ne fluctue pas au fil du temps. Autrement dit, il n’est pas nécessaire de passer de nombreuses années avec Jésus pour l’obtenir. Pierre et ses compagnons avaient déjà passé trois ans avec Jésus quand celui-ci déclara à Pierre : « Quand tu seras converti. » La foi authentique est un don qui s’obtient auprès du Seigneur. C’est en priant et en faisant preuve de patience que nous l’obtenons. L’exemple des disciples nous montre que le fait de vivre en compagnie de Jésus n’est pas une garantie absolue dans le domaine de la foi. Vivre une foi authentique n’est possible qu’en acceptant la mort et la résurrection de Jésus, ainsi que l’effusion de son Esprit. C’est un don qui doit être accepté : « C’est par la grâce en effet que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. » (Éphésiens 2.8)
Jésus est prêt à accorder à tous les jeunes, ainsi qu’à tous les enfants et à tous les adultes, cette foi authentique qui permet de résister aux épreuves et aux difficultés et d’avoir le courage d’être identifiés en tant que disciples de Jésus. Dans cette vie nous perdons nos bien-aimés, nous sommes tentés de faire le mal, nous sommes dépossédés des choses que nous aimons et auxquelles nous tenons, nous pouvons être rejetés, nous pouvons nous laisser séduire par le monde sécularisé dans lequel nous vivons et faire des choses qui sont incompatibles avec notre marche chrétienne.
Vous êtes jeunes et le Christ vous rend forts, alors vous avez la responsabilité de soutenir ceux dont la foi est vacillante.
Jésus dit à Pierre : « Quand tu seras revenu à moi, affermis tes frères. » En disant « Quand tu seras revenu à moi », Jésus voulait dire à Pierre : « Quand tu auras repris ta marche avec moi, quand tu pourras de nouveau t’identifier à moi, alors tu auras la responsabilité d’affermir tes frères. » Jésus voulait que Pierre agisse de façon à rassembler les disciples dispersés afin qu’ils puissent former un groupe suffisamment solide pour proclamer l’Évangile.
Nous ne vivons pas seuls sur une île déserte. Jésus fut clair en transmettant ce message à Pierre. Notre conversion doit nous permettre d’exercer une influence positive sur notre entourage. Les chrétiens ne doivent pas semer la discorde parmi leurs frères (Proverbes 6.19) ni se contenter de prêcher l’Évangile à ceux qui sont perdus. Nous affermissons nos frères en les aimant et en les encourageant.
Jésus savait que Pierre montrerait des signes de faiblesse en raison de son humanité. Cependant, il l’encouragea à ne pas laisser ses faiblesses le mener vers un point de non-retour. Il était convaincu qu’il pouvait jouer un rôle essentiel. Jésus pardonna Pierre et il lui montra qu’il faisait toujours partie des siens. Il agit également ainsi envers nous, et nous sommes invités à en faire de même auprès de ceux qui nous entourent. Il y a de la place pour tout le monde dans le royaume de Dieu. Aujourd’hui, il appelle les enfants, les jeunes, les adultes et tous ceux qui le suivent de loin à s’approcher de lui. Acceptons son pardon, son amour et sa grâce, et permettons à d’autres de le découvrir.
Quand la prophétie de Jésus se réalisa et quand Pierre prit conscience de ce qu’il avait fait, il pleura amèrement (Luc 22.62). Le Seigneur le pardonna et le restaura pleinement. Pierre devint alors une forteresse contre les forces du mal. Il fit découvrir à des foules entières le royaume de Dieu en prêchant et en vivant l’Évangile de Jésus, et en les invitant à accepter le Seigneur crucifié et ressuscité comme leur Sauveur personnel. Vous aussi, vous pouvez exercer une influence positive sur autrui en vous tournant vers le Seigneur aujourd’hui !
Balvin B. Braham est secrétaire de la Division interaméricaine, assistant du président, responsable des ressources humaines, coordinateur du département du développement du leadership, responsable adjoint de l’association pastorale, responsable du département de l’Évangélisation et de la croissance de
l’Église. Anett Braham est infirmière et enseignante.
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