1
Oh! quel repos, quand le mal m’environne,
D’être conduit.
Autour de moi ton tendre amour rayonne
Quand il fait nuit.
Et pas à pas, je vais en mon chemin,
Toujours tenu par ta fidèle main.
2
Ah! trop longtemps, n’acceptant point de maître,
Manquant de foi,
Pauvre insensé, je ne voulais pas être
Conduit par toi.
Et l’ennemi s’attachait à mes pas,
Et m’entraînait où je ne voulais pas.
3
Mais maintenant que tu m’as fait connaître
Ton grand amour,
Je ne pourrais sans toi, bien-aimé Maître,
Vivre un seul jour.
Je t’appartiens, mon coeur aime ta loi,
C’est mon bonheur d’être conduit par toi.